L’investissement immobilier permet d’acquérir un bien afin d’en tirer des revenus après sa mise en location ou sa revente. Si vous avez envie d’investir dans le locatif, vous devez prendre en compte certains facteurs. Avant toute chose, en fonction de votre capacité, vous devez être en mesure de connaître les biens immobiliers dans lesquels vous allez pouvoir investir. Pour vous aider à réussir votre financement, vous trouverez ici sur les biens à privilégier, dans une ville telle que Bordeaux par exemple.
Sommaire
Bordeaux : une ville idéale pour un investissement locatif
Bordeaux fait partie des rares villes de France à connaître des zones de tension immobilière dans presque tous ses quartiers, ce qui la rend propice pour des investissements, la demande étant forte. La capitale de la Gironde est au cœur d’une agglomération dynamique et accueille plus d’un million de personnes, notamment les nouveaux habitants et les investisseurs. Son cadre de vie permet une croissance économique, sociale et culturelle avec une population de jeunes très active. De plus, avec les nouvelles constructions, vous pouvez trouver un T5 neuf sur Bordeaux avec pichet.fr dans un quartier rentable, ce qui fera un investissement locatif immobilier idéal.
La 9e métropole française a un climat agréable et se trouve à environ 50 kilomètres de l’océan atlantique. Aux yeux des investisseurs, c’est une ville très attractive et dotée d’un riche réseau de transport routier. Cette bonne desserte sur le plan des transports est rendue possible grâce à la venue de la ligne à grande vitesse qui relie Bordeaux à Paris en 2 heures, et de son aéroport international. Depuis Bordeaux, vous pouvez vous déplacer vers plus de 80 destinations dans toute l’Europe. Ces nombreux atouts font de la cité girondine une ville à forte demande locative.
Les logements immobiliers à privilégier
Pour réussir son investissement locatif, il y a des biens qu’il faut privilégier. Chaque type de logement que vous choisissez a ses avantages et ses inconvénients, notamment en fonction du coût budgétaire et de la rentabilité.
Les studios
Les studios sont parfaits pour les investisseurs à petit budget. Même si le m² est plus coûteux à la location, son prix de vente est relativement moins élevé et il offre plus de rentabilité (5 à 7 %) contrairement aux grandes surfaces. De plus, dans les villes estudiantines et les villes qui emploient le plus, les studios se louent très vite. Ils sont très prisés en raison du succès qu’ils connaissent dans les rangs des étudiants et des nouveaux travailleurs.
Cependant, pour un appartement, l’occupation moyenne est d’environ 5 ans, tandis que dans un studio, elle est de 2 ans. Dans un studio, la fréquence de rotation des locataires est plus élevée, et les déménagements répétitifs entraînent plus vite la dégradation de l’habitat. Pour pallier cette faille, il est préférable de disposer d’un budget pour la rénovation. De plus, entre deux arrivées de nouveaux locataires, il y a notamment une perte de rentabilité à cause de l’inoccupation du logement.
Les 2 et 3 pièces en appartement
Les appartements ont besoin d’un coût budgétaire plus important avec une rentabilité moindre de 3 à 5 %, par rapport à une petite surface. Toutefois, l’achat au mètre carré vous reviendra moins cher. De plus, avec les appartements, les locataires sont pour la plupart des célibataires actifs ou des couples avec enfants. Ils restent donc plus longtemps, ce qui inclut plus de stabilité contrairement au studio.
Cette stabilité engendre notamment un faible taux de déménagement des locataires, une réduction des risques d’impayés, et une longue période sans besoin de remise en état du logement. Un investissement pareil est rentable pour les investisseurs sur le long terme. Pour la revente d’un appartement, vous êtes susceptible de trouver un acheteur généreux en raison de la rareté de ce type de logement sur le marché.
Les maisons
Les maisons et les appartements offrent la même rentabilité (entre 3 à 5 %). Cependant, si vous souhaitez varier votre patrimoine et œuvrer pour la fidélisation de vos occupants durant plusieurs années, une maison est la solution parfaite pour y parvenir. Les locataires d’une maison restent beaucoup plus longtemps que ceux des appartements. La plupart du temps, les Français ont une forte préférence pour les maisons. Des études prouvent que 73 % des Français rêvent d’en acheter une.
Avec cette catégorie de bien immobilier, vous ne rencontrerez pas trop de difficulté à trouver un nouveau locataire lorsque le précédent vous quitte. Les occupants d’une maison sont souvent des familles. Elles ont pour habitude de bien entretenir le logement. Par conséquent, le coût de remise en état est réduit.
Le parking
En comparaison avec un logement, le prix d’achat d’un parking est plus faible et offre une rentabilité de 7 % environ après défalcation des frais d’impôt. Ce type d’investissement est bénéfique dans les zones tendues et ne comporte pas les risques liés à une location résidentielle. Le contrat conclu entre le locataire et le propriétaire d’un parking est différent de celui d’un logement. Il est plus souple et relève du droit civil.
Comme pour tout achat immobilier, dans le but d’amortir les frais d’acquisition, il faut conserver le parking sur un certain nombre d’années. Il est alors conseillé d’acheter plusieurs emplacements dans un parking pour réduire les frais d’acquisition, afin d’avoir le plus de revenus possible. Il faut savoir que les revenus obtenus lorsque vous mettez un parking en location sont de type foncier. Selon la réglementation, s’ils sont en deçà de 15 000 €/an, le propriétaire adhère à un microrégime, et bénéficie notamment d’un abattement de 30 % sur le montant de son impôt foncier.
Location saisonnière
Ce type d’investissement a la particularité d’être rentable en haute saison, avec un faible risque d’impayés. Toutefois, en raison de la rareté des touristes en basse saison, le taux de vacances locatives d’une location saisonnière est plus élevé. Vous devez aussi considérer les frais de gestion locative en cas de possession de plusieurs logements.
Étant donné que la location saisonnière n’est rentable qu’en haute saison, il est préférable de privilégier les secteurs touristiques comme les montagnes, les stations balnéaires et certaines grandes villes notamment Bordeaux, Paris, Nice, etc.
Pour ce qui est des meublés touristiques, le propriétaire est soumis à quelques réglementations. Dans une ville dont la population est en dessous de 200 000 résidants, ils sont limités à 120 nuitées par an. Si la ville se trouve dans une zone tendue et comporte plus de 200 000 habitants, la création d’un numéro d’enregistrement est nécessaire.