Acceuil Famille & Lifestyle Précédemment, il y avait les blogguers, maintenant nous avons les buzzeurs

Précédemment, il y avait les blogguers, maintenant nous avons les buzzeurs

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Pour le dire simplement, la prolifération des blogs de buzz m’énerve. Voici et Gala commencent à prendre une part conséquent des résultats de recherche sur les moteurs.

Si je prends une requête telle que Carla Bruni sur Google, je trouve 3 résultats franchement liés à du buzz inutile. Considérant comme les places sont chères sur la première page de Google pour une requête à plus de 4 000 000 de résultats, c’est une proportion non négligeable de résultats que j’estime polluant.
Chacun est libre d’écrire ce qui lui plaît sur Internet. La liberté est à ce prix qu’il faille accepter la présence de n’importe quoi, mais je me pose plutôt la question de comprendre pourquoi tant de personnes préfèrent plonger dans l’égout de la vie privée plutôt que de créer des projets intéressants.

Il est compréhensible que les gens préfèrent regarder des vidéos rigolotes de célébrités en fâcheuse posture plutôt que de lire les terribles choses qui sont distillées sur Adicie. Comme m’explique Arlette, les gens sont déprimés et l’observation des péripéties de personnalités publiques permet d’accepter sa propre condition de vie qui est médiocre. Si Nicolas et Carla ont des ennuis, ça aide à surmonter son propre malheur. Même les plus riches et célèbres se retrouvent dans des situations terribles, donc je ne suis pas si mal barré avec mon SMIC. Les bourrelets de Cindy Crawford m’aident à surmonter le fait que je n’arrive pas à me débarrasser du gras autour du bide. Marilyn était en plein déprime jusqu’à aller au suicide, donc je peux continuer à me gaver d’anti-dépresseurs car je suis toujours vivant. Etc …

Avec le recul, je vois tout à fait comment Adicie dérange et surtout qu’il vaut mieux ne pas se laisser influencer pas cette lecture subversive plutôt que de se conforter dans le rêve et l’espoir. La plupart des gens sont déjà dans une situation déplorable, alors apprendre que la raison d’Etat n’est pas toujours dans son bon droit est un coup de massue qui est difficile à encaisser. Nous avons besoin de figurer dans une société qui nous réconforte au lieu de nous faire douter.

Après tout, peu importe que la majorité des gens aient besoin d’un échappatoire afin de surmonter leurs problèmes. Les victimes sont en nombre limité puisque pour une célébrité mise à mal, il y a des milliers (millions) de personnes qui se sentent mieux.

Sauf que …

Il faut connaître l’envers du décor afin de comprendre la motivation des webmasters qui lancent ces blogs de buzz. J’en parle auparavant sur mon billet sur l’art et la manière de gagner de l’argent sur Internet, mais je reviendrai sur le sujet plus loin. Ces buzzeurs ont une seule motivation qui est que le visiteur clique sur la publicité. Ils ne sont pas créateurs, mais simplement relayeurs de scoops. A l’origine d’un scoop, il y a toujours une source unique. Désormais, cette source unique est relayée des milliers de fois sans autre intérêt que de se faire du fric sur le dos des visiteurs. Dans sa situation la plus insuportable, il est possible de se retrouver engagé involontairement dans une guerre du scoop futile et agaçante.

J’étais tellement agaçé par le buzz que j’ai ouvert mon propre blog de buzz qui se moque du buzz. Maintenant, l’exercice m’a lassé et le blog est rarement mis à jour, mais Chauffe Marcel a tout de même fait une remarquable démonstration sur la requête finale Star Academy où il s’était positionné devant le site officiel de TF1. Vous en voulez de la pertinence avec mon billet racoleur à deux balles ? Le billet squatte maintenant en deuxième position devant d’autres articles bien plus pertinents que le mien. Chauffe Marcel est bardé de publicité Google afin de le rendre plus crédible en tant que site buzzeur, mais je vous rassure que le taux de clics est tellement bas que les revenus payent à peine l’hébergement du site. Sur la même requête liée à la Star Academy, un peu plus bas que Marcel, campe le buzzeur ultime qui est Chauffeurdebuzz.com. J’ai bien l’impression que son énorme trafic et son « partenariat » avec le magazine Entrevue en fontt saliver plus d’un. Les webmasters avides de revenus miraculeux prennent en exemple Otto aka Chauffeurdebuzz, mais il est trop tard car c’était le premier qui est sorti du lot, optimisant ses chances de jackpot financier.
Maintenant, je vais exposer à nouveau comment il faut s’y prendre pour gagner (beaucoup) d’argent sur le Web.

Le modèle de sites Made For Adsense (MFA) ou comment devenir riche sur Internet

Parmi les moyens qui existent pour gagner de l’argent sur Internet, la publicité est certainement le plus simple à mettre en œuvre pour l’éditeur de site Internet. Avant 2003, la publicité se bornait à afficher bannières et pop-up, mais les têtes pensantes de Google ont inventé un système qui fit la fortune du moteur de recherche. Il s’agit des hyperliens publicitaires contextuels qui s’affichent dans la colonne de droite et parfois en haut des résultats de recherche Google. Le concept est absolument génial puisque les hyperliens affichés sont en corrélation directe avec le sujet de la requête. Par exemple, si l’internaute recherche une « livraison fleurs », Google affichera des fleuristes en ligne dans les hyperliens sponsorisés. Les publicités sont absolument pertinentes et complètent parfaitement les résultats organiques pour un choix plus varié.

En fait, il faut savoir que l’internaute est habituellement réfractaire à cliquer sur de la publicité. Le sentiment qu’un clic fait gagner quelques centimes à un webmaster ou une société est absolument insupportable pour la majorité des internautes. Ainsi, l’hyperlien sous format texte est beaucoup plus subtil que les bannières ou pop-ups submergeant les pages Web depuis toujours. Désormais, l’œil de l’internaute est habitué à ce format de publicité et il arrive à zapper visuellement toute bannière ou pop-up. À l’inverse, la publicité contextuelle peut passer pour un hyperlien naturel, effaçant le refus de publicité intrusive. C’est beaucoup plus subtil et ça marche !

Les résultats de recherche de Google (et des autres moteurs de recherche majeurs) sont donc truffés d’hyperliens publicitaires, mais il faut aussi savoir qu’il est possible pour n’importe quel webmaster de reprendre ces publicités sur son propre site Internet. Par exemple, le propriétaire d’un site qui traite de fleurs peut afficher les mêmes hyperliens publicitaires retrouvés sur les requêtes tournant autour des fleurs. Techniquement, c’est un jeu d’enfant à installer puisqu’en quelques clics le site sera équipé en publicité contextuelles. Chez Google, il existe deux programmes complémentaires. D’un côté il y a Google Adwords qui permet aux annonceurs de mettre en place en quelques minutes de la publicité sur les premiers résultats de recherche. De l’autre côté il y a Google Adsense qui propose aux éditeurs de sites Internet d’afficher rapidement et simplement les publicités des annonceurs Google Adwords. Au sein de Google Adsense, les éditeurs de sites partagent les revenus des clics avec Google. Pour l’éditeur de sites, il s’agit généralement d’une moyenne située entre 0,05 et 10 centimes par clic, selon les thématiques. Bien sûr, certains clics peuvent rapporter gros, mais la moyenne générale n’est pas si impressionnante. Par contre, il est possible de générer des centaines de milliers de clics et c’est ainsi que j’en viens au MFA qui signifie Made For Adsense. Les MFA sont des sites dont la spécialité est justement d’engranger le plus possible de clics. Les MFA sont des exemples parfaits pour illustrer les possibilités naissantes et toujours évolutives afin de gagner de l’argent sur Internet.

Une page Web MFA est en fait construite autour de la publicité à l’inverse d’une page Web classique qui se préoccupe d’abord d’éléments comme la navigation et le graphisme. Pour le MFA, le but avoué est que le visiteur effectue une action bien précise, c’est-à-dire de cliquer sur la publicité. Peu importe si le visiteur lit le texte ou visite de nombreuses pages du site car la finalité est vraiment qu’il sorte par la première publicité tombée sous la souris. De la sorte, avec certaines optimisations, il est possible d’observer un taux de clic qui dépasse allégrement 50%, même si la moyenne se situe plutôt autour de 10-15%. Pour qu’un template MFA soit efficace, il faut que la publicité soit le centre névralgique de la page. Tout élément propice à la distraction visuelle doit être éradiqué à moins qu’il ne serve l’action souhaitée. La page MFA « idéale » ne devrait donc pas comporter de menu, images ou logo. L’image pour faire joli n’a pas sa place sur un MFA, à moins qu’elle serve à attirer l’œil vers la publicité. Par contre, il est interdit par Google Adsense d’inciter au clic, donc tout se joue sur un ton de plus en plus subliminal. Pas question d’avoir une grosse flèche rouge clignotante qui dit « cliquez sur cette pub », mais à l’aide d’éléments aussi simples que la gestion de l’espace entre les paragraphes de texte, il est possible de mettre en valeur la publicité sans qu’elle se retrouve trop évidente. Le secret de la performance du MFA est qu’il faut que la publicité ressemble le moins possible à de la publicité. Pour cela, le programme Google Adsense est fabuleux puisqu’il permet de customiser les hyperliens publicitaires afin des les fondrent complètement dans la charte graphique du site, ainsi qu’au sein du texte. Les publicités ressemblent à de véritables hyperliens organiques, effaçant la réticence de l’internaute à cliquer sur une publicité. Encore une fois, il s’agit bien d’hyperliens contextuels, c’est-à-dire qu’ils sont pertinents par rapport au contenu de la page. Logiquement l’internaute devrait donc être intéressé par le site de l’annonceur. En tout cas, la probabilité de pertinence est plus élevée qu’avec bannières et pop-ups qui ne savent pas lire le contenu de la page où elles s’affichent afin d’adapter le message et le sujet de la publicité.

Certains MFA proposent un contenu intéressant, mais d’autres se bornent à récupérer du contenu, de manière automatique ou manuelle. Parmi les MFA les plus simples à produire, l’annuaire Web est un exemple magnifique. Le contenu est simplissime puisqu’il s’agit du titre et de la description des sites référencés dans les catégories de l’annuaire. En général, pour une page classique d’annuaire MFA, une liste d’hyperliens publicitaires précède les sites référencés, mais il est difficile de percevoir où se termine la liste publicitaire et où commence la liste organique. La cerise sur le gâteau pour le webmaster est qu’il n’a même pas besoin de gérer l’annuaire manuellement puisque des scripts développés dans le langage open source PHP s’occupent très bien de remplir automatiquement les catégories. Il suffit d’envoyer le programme visiter les résultats de recherche d’un moteur en fonction de mots clés pour que les sites présents sur les requêtes soient automatiquement référencés dans l’annuaire.
Ensuite, il existe des MFA qui vont piocher du contenu déjà présent sur Internet. Les techniques sont infinies, mais je citerai le pompage Wikipedia et autres sites d’information ou la récupération massive de flux RSS émanant principalement de blogs.
Il y a aussi la possibilité de générer automatiquement le texte à l’aide de scripts PHP qui permettent tout simplement de mélanger plusieurs textes ou d’en générer carrément un nouveau.
Dans tous les cas, il faut seulement quelques minutes construire un MFA. Ensuite, il faut effectuer un travail de référencement minimaliste puis le site est parti récolter quelques dollars par jour. Il suffit de dupliquer le site en variant les thématiques pour construire un réseau MFA dont les revenus élevés peuvent surprendre, mais sont avérés.
Pour simplifier le calcul, admettons que le plus mauvais des MFA récolte 1€ par jour. L’éditeur de MFA motivé pourrait lancer 5 ou 6 sites par jour. Au bout d’1 an de travail, il faut donc imaginer un revenu minimum de 2000€/jour. Dans une moindre mesure, il est tout à fait facile d’arriver à un revenu de 100 € par jour avec un travail plus que minimal. Celui qui n’arrive pas à franchir les 100 € par jour doit vraiment faire quelque chose de travers, car même le plus fainéant dépassera largement ce niveau de revenu. Les frais sont ridicules puisqu’un nom de domaine coûte 6€ et ce type de site peut se contenter d’un hébergement mutualisé à 15€ par an.
Entre 100 et 2000€ par jour constitue une cagnotte sympathique ; surtout si les revenus ne sont pas déclarés comme dans de nombreux cas. Nous sommes en présence de la situation idéale pour la fraude fiscale puisque l’activité est virtuelle, le payeur situé à l’étranger et une société offshore facile à créer et gérer pour ce type d’activité.
Tout compte fait, il est assez intéressant à savoir qu’avec un ordinateur, une connexion Internet, un budget ridicule, quelques notions techniques et du temps, il est encore possible de faire des miracles financiers. Ce ne sont peut-être pas les lettres de noblesse d’Internet qui sont gravées par les MFA, mais cela suggère que tout est encore ouvert sur ce fabuleux médian. Sans vouloir décrocher le jackpot d’une introduction en bourse via un projet de start-up, de nombreux éditeurs de sites peuvent vivre plus que confortablement de cette activité. Pour l’instant, il est certain que peu en parlent dans sa véritable dimension, mais lorsque Capital sur M6 parlera des MFA, vous pourrez dire que vous connaissiez le système depuis un moment grâce à ce billet.

En conclusion je dirais simplement que les buzzeurs dépensent beaucoup d’énergie pour pas grand-chose. Comme j’ai observé avec Marcel, le taux de conversion publicitaire est très faible. Par contre, la concurrence est féroce. Les buzzeurs n’ont pas compris qu’il fallait avoir un trafic monstrueux tel que celui d’Otto afin de prétendre vivre de ce modèle économique. Ma pratique personnelle du système Adsense porte sur des domaines commerciaux où mes pages vont afficher des publicités pertinentes, contrairement aux blogs de buzzeurs où la publicité est tout sauf intéressante. Ben oui, il n’y a pas ou peu de pubs concernant Britney Spears ou d’autres célébrités ! Les marques sont déposées et il est interdit d’acheter un mot clé déposé.
Maintenant, je dénonce surtout le système afin que l’internaute ne soit pas dupe à props des liens textes contextuels qui sont bien de la publicité payante, entrant dans les poches de Google et du webmaster. Cela fait quatre ans que je suis inscrit au programme Adsense, et franchement j’ai stoppé la production de pages destinées à ce modèle. À l’échelle d’Internet, quatre années est une longue période. Je ne crois pas en la pérennité du système, même s’il est encore profitable. Ceux qui ont mieux profité sont les précurseurs comme moi; ceux qui arrivent maintenant ramassent les miettes qui restent et font plus de pollution que de profit. Pour rester au top sur le Web, il faut savoir s’adapter aux nouvelles tendances. Les buzzeurs qui démarrent aujourd’hui devraient vraiment penser à un changement de stratégie rapide sous peine de déconvenue certaine.

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8 Commentaires

  1. Olitax

    2 juin 2008 à 17:53

    Billet très intéressent 😉 Bravo

    Les blogs que j’ai ouvert je peux les compter sur les doigt d’une seule main, au début ça roule mais après quelques temps j’ai toujours eu des mauvaises surprise (plagiat d’image, de vidéo, et surtout des texte) et puis le manque de temps… Avec les cours le soir c’est pas facile tout les jours…
    Mais bon, mes blog été toujours orientés vers mes découvertes et mes coups de cœur sur internet. Je part du principe qu’un blog et fait pour se faire connaître et partager quelque chose avec nos visiteurs. Le web 2.0 quoi 😀

    Pour ce qui est des blogs de buzz, j’ai eu ma dose moi aussi. Mais je suis du genre très curieux et donc je suis capable de me taper les 10 pages voir plus de Google pour au final tomber toujours sur la même chose, ou presque. Des images en plus ou des images en moins…
    Les blogs que je consulte avec « assiduité » c’est Chauffeurdebuzz et Adicie (Et les blogs du Hub, tout naturellement 😀 )

    Personnellement je ne suis pas du genre a cliquer sur les pub comme un bourrin. Si j’arrive sur un site et que je vois que le contenu n’est pas intéressent je ne vais pas faire d’effort.
    Par contre pour les sites que selon moi ils méritent , je clique.
    Et quand j’aurais l’âge d’avoir un compte PayPal je ferais des dons 🙂

    Merci pour l’article.

    Olitax-
    ++

  2. Laurent Bourrelly

    2 juin 2008 à 22:06

    Disons que j’ai ouvert plusieurs centaines de blogs pour pas grand chose, quelques dizaines pour un petit rien, une poignée pour tenter de faire quelque chose, et un seul qui continue de me motiver (celui-ci).
    La plupart des blogs que j’ouvre sont en fait un support pour un site, mais j’ai rarement bloggué dans le sens orignal du terme.
    Par contre, je ne pense pas que le blog soit le format idéal pour optimiser le modèle publicitaire. En tout cas, j’ai de bien meilleurs résultats sur mes pages HTML dont j’ai maîtrisé la création de A à Z.

  3. Garcon

    2 juin 2008 à 23:26

    Salut Laurent

    Tout d’abord je dirais je te rejoins sur les buzzeurs et leur omnipresence, mais l’omnipresence a contrario de blog a debat comme Adicie ou dans une autre forme comme le mien peuvent etre etouffant. Ce qui compte pour l’internaute c’est qu’ils se cree un panel de lecture variee…et surtout qu’il decroche de temps en temps… Sortir dehors, s’aerer 🙂

    Ensuite sur les MFA, tu dis :
    « Pour simplifier le calcul, admettons que le plus mauvais des MFA récolte 1€ par jour. L’éditeur de MFA motivé pourrait lancer 5 ou 6 sites par jour. Au bout d’1 an de travail, il faut donc imaginer un revenu minimum de 2000€/jour. Dans une moindre mesure, il est tout à fait facile d’arriver à un revenu de 100 € par jour avec un travail plus que minimal. Celui qui n’arrive pas à franchir les 100 € par jour doit vraiment faire quelque chose de travers »

    Je suis pas sur de comprendre recolter 1euro /jour n’est pas si simple ss promouvoir un blog… le modele dont tu parles recolterais 1 euro/jour x 2000 blog (quel travail de fou, rien que pour la gestion des noms de domaines) juste en se reposant sur les moteurs de recherche ?
    Ensuite, pourquoi donner cette recette pour dire ensuite qu’elle ne marche pas et qu’il n’y a plus que des miettes ? et finalement pourquoi n’appliques tu pas toi meme ce modele , qu’est ce qui te retiens hormis l’ethique ?

  4. Laurent Bourrelly

    3 juin 2008 à 1:59

    Hi,

    Tu pars sur un modèle blog qui possède un très faible taux de conversion, alors qu’en optimisant la page au maximum, il est possible de faire grimper ce fameux CPC dans des sphères que tu n’oserai pas imaginer (c’est interdit par Google de chiffrer en public le sacro saint CPC, donc pas de chiffre exact).

    J’ai un peu mélangé la sauce en parlant de buzzeurs et de MFA, et j’ai peut-être eu tort car le véritable MFA performant n’est pas un blog. C’est justement le gros problème des buzzeurs qui ramassent de clopinettes à cause de CPC faible. Il leur faut un énorme trafic tandis qu’un MFA classique se contente d’un trafic faible avec un taux de conversion élevé.

    Est-ce que c’est plus clair ?

    Quand à ta dernière question, je préfère sortir mon joker 😀

  5. David (Azur Dev)

    5 juin 2008 à 8:37

    Hé, mais tu fais du duplicate content avec un de tes anciens articles! 😀

    Je dois être très mauvais en MFA, parce que les 1€ par jour sont loins! Mais c’est vrai que j’ai fais des sites statiques, quasi-copier-coller de Wikipédia. http://azur.ironie.org/12-mon-premier-mfa-made-for-adsense.html

    Si tu veux bien me contacter par courriel et m’envoyer 1 ou 2 de tes exemples, ça me branche. 😉

  6. Laurent Bourrelly

    5 juin 2008 à 14:09

    Subtile différence entre duplicate et paraphrase 😉
    Heu ton site MFA fait 5 pages qui sont toutes prises sur Wikipedia. Tu veux vraiment faire 1 centime avec ça ? Faut quand même envoyer un peu plus que ça pour espérer un retour. 100 pages est un minimum, et j’en verrais même 10 ou 100 fois plus.
    Et pour Wikipedia, prends le texte français que tu traduis dans une langue étrangère puis que tu retraduis en Français. Ca va donner un language un peu XIX ème siècle mais qui suffit amplement pour ce type de site.

    Je te prépare un mail 🙂

  7. David (Azur Dev)

    7 juin 2008 à 23:37

    J’ai toujours rien reçu chef. 😀

  8. Laurent Bourrelly

    8 juillet 2008 à 16:55

    Le mieux est que tu me passes un coup de fil

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